Féministère #1 / Le bon moment

4 mars 2021 2

Quand les traumas sont enfin considérés comme tels, actés comme des violences vécues, que ces violences resurgissent au quotidien dans nos intimités, que celles-ci s’expriment dans la société, collées sur les murs, scandées dans les rues, par nos corps et nos voix, alors, les traumas sont enfin partageables, sans honte, sans culpabilité.

Le partage c'est la vie
Par Anne-Sophie Ortiz-Balin